Berluti présente sa collection Automne-Hiver 2024

Mode & Maroquinerie

·

Pour l’automne-hiver 2024, Berluti recontextualise les codes du vestiaire masculin à travers sa propre iconographie.

La collection met en avant le savoir-faire et les emblèmes de la Maison, et propose un vestiaire en deux chapitres. Chez Berluti, la transition de l’automne à l’hiver se fait en adaptant le vestiaire : les cuirs se font légers, les souliers formels se transforment en souliers d’extérieur, les sacs se parent de cachemire. Sans jamais laisser de côté les emblèmes de la Maison Berluti : le cuir Venezia, la Patine ou le Scritto.

La collection Automne met en valeur les icônes du vestiaire élégant. Les accessoires rehaussent les lignes grâce au savoir-faire inimitable de Berluti. La Sky Running – une nouvelle « sneaker » inspirée des chaussures de trail – associe les coutures et le cuir de la Maison à des éléments en daim dans trois coloris.

Pour la collection hiver, elle fusionne héritage et modernité et met en lumière le savoir-faire et l’artisanat dans la confection des essentiels du vestiaire hivernal.

Rapiecé Reprisé marque la première histoire de la ligne Berluti Editions : une proposition en édition limitée. Ancrés dans l’histoire de Berluti, ces accessoires en cuir composés de souliers et maroquinerie – disponibles dans une sélection de boutiques – sont le fruit du savoir-faire de la Maison. Rapiecé Reprisé, créée à l’origine par Olga Berluti en 2005, se définit par l’association de cuirs patinés à la main et du Scritto. Comme l’explique Olga : « Autrefois, aux XVIe et XVIIe siècles, les hommes ne portaient jamais de nouveaux vêtements. Les tissus devaient être suffisamment solides pour durer toute une vie. Pour le marquis ou le paysan, le costume de l’homme était retouché ou raccommodé comme un acte de bravoure. Certains Anglais élégants, artistes ou excentriques ont perpétué cette coutume. Dans les années 1960, Andy Warhol m’a demandé : « J’aimerais que le pied droit de mon mocassin soit rapiécé. Il faut que ça se voit ! Il faut que ce soit Andy Warhol ! »