Bold by Veuve Clicquot : 3e édition du baromètre international sur l’entrepreneuriat féminin

Vins & Spiritueux

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En 2019, la Maison Veuve Clicquot créait son baromètre international Bold, une étude unique qui permet de décrypter et analyser la situation des femmes entrepreneures partout dans le monde. En 2023, plus de 49 000 personnes ont été interrogées dans 25 pays, sur les 5 continents pour livrer leur vision de l’entreprenariat au féminin.

Le baromètre Bold by Veuve Clicquot dresse un tableau unique, multiculturel et intergénérationnel. En créant cet outil, la Maison souhaite encourager, inspirer et briser le plafond de verre de l’entrepreneuriat pour les femmes. « En interrogeant 25 pays nous avons réalisé qu’ils n’étaient pas tous égaux en matière d’entrepreneuriat et que nous avions à apprendre des autres. Car chez Veuve Clicquot nous sommes convaincus que de cette vision internationale émergeront des outils et des bonnes pratiques concrètes. Ensemble, inspirons-nous, écoutons-nous pour faire bouger les choses ! » a déclaré Jean-Marc Gallot, Président Directeur Général de Veuve Clicquot.

Le Baromètre souligne 4 thèmes majeurs :

  1. « Où sont les femmes ? »

L’entrepreneuriat masculin reste encore bien supérieur à l’entrepreneuriat féminin. Pourtant les femmes restent nombreuses à souhaiter devenir entrepreneures, notamment les femmes de moins de 30 ans.  Ainsi, au Nigéria 91% des femmes de moins de 30 ans aspirent à ce projet de carrière.

  1. « Ah si j’étais un homme… »

La plupart des femmes pensent que les femmes entrepreneures doivent agir comme des hommes pour réussir. Cette opinion partagée dans le monde entier est particulièrement flagrante pour 57% des femmes en Afrique du Sud. Les femmes sont convaincues d’être plus la cible de critiques que les hommes et manquent de rôles modèles pour les inciter à se lancer. En France, 93% des femmes aspirant à l’entrepreneuriat sont inspirées par des femmes entrepreneures mais seulement 18% peuvent en nommer une localement. Alors qu’en Afrique du Sud, sur 97% des femmes aspirant à l’entrepreneuriat, 72% peuvent en nommer une localement. Un modèle inspirant pour les autres pays.

  1. « Money, money, money : on ne parle jamais (trop) d’argent”

En 2023, le constat est le même qu’en 2021 : la levée de fonds est un frein à l’entrepreneuriat féminin. 55% des femmes au Japon considèrent que les financements sont plus susceptibles d’être accessibles pour les hommes que pour les femmes entrepreneures. 69% des femmes au Royaume-Uni sont persuadées que les financements, les investissements et les levées de fonds sont et seront plus difficiles en 2023 pour les femmes.

  1. « Vous avez dit manque d’ambition ?! (peur /échec) »

Si les femmes sont conscientes des risques liés à l’entrepreneuriat, elles ne sont pour autant pas démotivées au contraire. Encore faut-il leur donner les moyens comme le souligne le baromètre. Seules 24% des femmes entrepreneures en France se disent moins désireuses de prendre des risques professionnellement parce qu’elles ont déjà vécu un échec.

En conclusion, le Baromètre Bold souligne que « être son propre patron » est la première raison qui pousse les femmes dans le monde à devenir entrepreneures, notamment pour 48% des femmes en France. La Maison Veuve Clicquot conclut son étude en appelant à la mobilisation collective : « si les femmes veulent devenir leur propre patron et faire évoluer le monde, aidons-les. Accompagnons-les et faisons de ce nouveau monde, un monde paritaire au service de l’économie, de la politique et de la société dans son ensemble. »

Retrouvez l’étude en ligne sur le site de Veuve Clicquot.