DOSSIER D’ACTUALITÉ
Art & Culture
L’art du retail
LVMH est depuis toujours passionnément lié au monde de l’art, source d’inspiration de ses produits d’exception issus de la parfaite maîtrise d’un haut artisanat et de métiers rares.
...ou l’art dans tous ses états
LVMH est depuis toujours passionnément lié au monde de l’art, source d’inspiration de ses produits d’exception issus de la parfaite maîtrise d’un haut artisanat et de métiers rares. C’est pourquoi, au-delà de leur politique de mécénat, le Groupe et ses Maisons ont impulsé dès les années 2000 le tandem qui a métamorphosé l’expérience client : celui de l’art et de l’architecture. Avec, toujours en ligne de mire, l’envie de faire partager au plus grand nombre cette passion pour le beau.
Suppléments d’âme au sein des flagships, boutiques ou autres lieux de vie, les œuvres sont partout comme chez elles, affinités électives et sélectives, justes échos à une exigence créative sans concession, suscitant l’émotion tout en transmettant instantanément les valeurs d’une Maison.
L’art de vivre… l’art
C’est une monumentale sculpture, envolée de cuivre posée sur le lagon, dont les rayons métalliques réfléchissent le soleil. Direction l’hôtel Cheval Blanc Rhandeli aux Maldives, là-même où, des chambres au paysage, l’artiste Vincent Beaurin joue avec eau et lumière. Cheval Blanc, la marque hôtelière de LVMH, se plaît à multiplier les voyages : à ses inoubliables maisons et horizons s’ajoutent d’autres échappées belles, à la rencontre d’une collection d’œuvres d’art contemporain.
Partie prenante d’un art de vivre d’exception, ces créations singulières s’immiscent, synonymes d’expériences uniques : au Cheval Blanc de Courchevel, le miroitant cheval de Troie de Bruno Peinado, l’ours comme sculpté dans la neige de Xavier Veilhan et l’immense collier de perles de Jean-Michel Othoniel offrent d’emblée aux hôtes de nouvelles perspectives poétiques. De son côté, Cheval Blanc Saint Barth Isle de France s’apprête, lui, à rouvrir ses portes, dévoilant au passage sa « Constellation du Pégase », mobile géant de Jean-Michel Othoniel posé au cœur d’un paradis tropical imaginé par le créateur de jardins Madison Cox.
«Partie prenante d’un art de vivre d’exception, ces créations singulières s’immiscent, synonymes d’expériences uniques»
Avec « Los Angeles Rive Gauche », le Bon Marché se met à l’heure californienne
Lire l'articleToujours mettre la création au centre de ses univers : pour le groupe LVMH, il n’est jamais question de faire seulement sensation mais sens aussi. Une osmose, entre excellence d’une part, expression inédite de l’autre. Lorsque la Maison Hennessy convoque le collectif d’artistes Marshmallow Laser Feast pour réaliser une installation au sein de son « Chai du fondateur » à Cognac, là où reposent ses eaux-de-vie les plus précieuses, l’idée est bien de rendre compte d’une forme de sublime, ce doigté inspiré, ce cheminement quasi spirituel du maître assembleur. Baptisée « La Quête », l’impressionnante galaxie de cristaux comme immatériels, traversée de projections lumineuses, étoffée d’ambiance sonore, exalte une rencontre au sommet entre nature prodige et hommes virtuoses.
Le shopping, parcours artistique
À l’heure où le virtuel n’en finit plus de s’étendre, le désir – et le besoin – se font de plus en plus pressants de renouer avec des plaisirs simples, ceux de la déambulation, de la surprise, d’un enrichissement intérieur aussi. Les magasins des Maisons de LVMH tiennent à exalter le réel, domaine de l’émotion s’il en est, où reprendre le temps de la contemplation.
Il en va ainsi de Guerlain dont les Boutiques sont depuis toujours conçues telles des écrins grâce aux artistes et artisans qui les façonnent. Déjà, dans les années 30, Jean-Michel Frank, Christian Bérard et Alberto Giacometti conjuguaient leurs talents pour signer les décors de la Boutique de la place Vendôme et du tout nouvel Institut des Champs-Élysées. Aujourd’hui, les Boutiques Guerlain continuent à cultiver leur lien à l’art. La Boutique de Passy, récemment ré-ouverte au 93, rue de Passy, accueille ainsi « L’Abeille » du photographe brésilien Vik Muniz ; une interprétation toute en matière sensible et douce de la fleur d’orchidée par Caroline Perrin ; ou encore la série « Ashkal » du designer libanais Richard Yasmine.
Et puis soutenir les talents fait pleinement partie de l’identité de Guerlain. Preuve supplémentaire, sa participation, chaque année depuis 12 ans, au Parcours Privé de la FIAC, via sa Boutique la plus emblématique du 68 Champs-Elysées. L’édition 2018, au titre explicite « Futur antérieur », pensée par la Commissaire Caroline Menssensee, est en résonance atypique avec la célébration des 190 ans de création de la Maison. Un anniversaire célébré tout au long de l’année : pour rendre hommage à la photographie, née à la même époque que Guerlain, la Maison Guerlain dévoilait également pendant l’été des œuvres photographiques commandées à huit artistes, chacun croisant histoire de la Maison et histoire des techniques photographiques. Outre la projection de regards singuliers sur la marque, ces événements constituent un idéal tremplin de visibilité et de reconnaissance pour des artistes émergents ou plus établis, profitant là d’un large public.
Espaces d’expositions privilégiés, donc, et parfois même hors norme, comme Au Bon Marché, désormais référence s’agissant de manifestations artistiques. En hiver 2017, la carte blanche donnée à l’argentin Leandro Erlich, méandres d’architecture et de trompe-l’œil, y engageait à un parcours de rêve éveillé au fil du grand magasin… Magistrale immersion à l’instar des installations conçues les années précédentes par Ai Weiwei ou Chiharu Shiota.